Albi et moi c’est d’abord une histoire de cœur, parce que ma sœur y réside depuis quelques années et que j’y vais par conséquent très régulièrement. Et puis, vous allez le découvrir en parcourant mes photos, c’est aussi une magnifique ville dont le cœur historique est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2010.
A vrai dire, il est difficile de choisir un élément en particulier. Je suis tout simplement fan de cette belle couleur de brique rose qui est sublimée par le ciel bleu lorsque le temps est ensoleillé…c’est-à-dire presque tous les jours !
Au détour de chaque petite rue escarpée on a envie de s’engouffrer dans une autre et de lever les yeux pour découvrir un joli détail sur une façade. J’adore aussi descendre sur les berges du Tarn qui se trouvent en contrebas de l’imposante cathédrale. En fin de journée, depuis le Pont Vieux, on peut y voir le soleil s’y refléter. C’est comme si le cours d’eau se constellait d’un millier de petites étoiles. Un vrai spectacle.
Je vous recommande d’aller goûter « la purée du pauvre » au restaurant Lou Sicret. Une purée aux truffes sur laquelle est déposée une généreuse tranche de foie gras poêlé, servie avec un œuf poché… A tomber par terre !
Ce restaurant situé non loin du centre historique est dissimulé derrière un passage voûté. Vous pourrez y déguster un grand nombre de spécialités telles que le pancarnat de canard, la féchoulette ou encore des radis au foie salé. Le tout, pour un budget raisonnable.
Celle qui depuis le Pont Vieux bâti au XIème siècle nous permet d’avoir une vue magnifique sur la Cité épiscopale.
Vous serez probablement comme moi charmés par l’accent tarnais. Très chantant, il est à mon sens le plus beau de toutes les régions de France. Sa tonalité renferme le soleil qui réchauffe les façades et la gentillesse des albigeois.
On retient surtout d’Albi son riche patrimoine architectural et son rôle dans les croisades menées contre les Cathares. Mais il faut savoir que la ville était aussi réputée pour la culture d’une plante, l'isatis tinctoria, qui donnait le pastel, employé comme pigment en teinture. Au XVème siècle, elle était même l'un des plus importants sites de production et d'exportation. Aujourd'hui, on retrouve ce joli bleu sur les portes et les volets de la ville.
C’est une évidence. La Cité épiscopale est ancrée dans le temps par son histoire et pas la solidité de ses monuments.
J’imagine bien un remake du Da Vinci Code où Tom Hanks aurait à y résoudre une énigme pour retrouver le trésor des Cathares.
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