Roc-La-Tour est un site touristique situé sur les hauteurs de la ville de Monthermé dans la vallée de la Meuse. Le site est en plein cœur de la forêt domaniale de Château-Regnault, il s'agit en fait d'un amoncellement de pierres et de colonnes de quartzite qui abrite une légende. C'est aussi le rendez-vous de promeneurs, randonneurs, amoureux de la nature, photographe et passionnés d'escalade.
C'est un lieu dans lequel je vais me balader régulièrement. Je peux y rester des heures pour simplement contempler le paysage. J'y allais enfant avec mes parents et je continue d'aimer cet endroit.
Justement j'avais l'habitude d'y aller avec mes parents mais aujourd'hui c'est souvent en amoureux que je m'y rends. On y croise des familles, des couples, des amateurs de photographie, des randonneurs, c'est un lieu pour tous !
Il y a plusieurs moyens d’accéder à Roc-La-Tour, il y a un accès en voiture avec un parking à quelques dizaines de mètre du lieu mais il est également possible pour les plus courageux et sportifs d’accéder au lieux par la forêt et les sentiers de randonnées.
C'est dans la forêt alors de bonnes chaussures sont nécessaires. Pas besoin d'être un bon sportif, simplement d'aimer marcher. Par contre, si vous compter faire de l'escalade sur le lieu, évidement il vous faut tout le matériel et les protections adéquates !
Rien ne vaut un joli coucher de soleil à Roc-La-Tour, c'est le moment idéal pour profiter de toute la magie du lieu.
Celle des "ruines du château du diable". Certains photographes arrivent à capturer le soleil couchant entre les colonnes de ce château et le rendu est superbe.
Le château du diable justement ! La légende raconte qu'un seigneur sans fortune qui voulait offrir une demeure à son épouse aurait vendu son âme au diable en échange de la construction d'un splendide château en l'espace d'une nuit. Le diable accompagné de créatures fantastiques (lutins, gnomes...) était sur le point de poser la dernière pierre du château lorsqu'un coq, réveillé par tout le vacarme, se mit à chanter. A cet instant, le diable cru qu'il avait perdu son pari et démolit de rage tout son travail. Les murs du château ont dégringolé jusqu'à la Semoy et les colonnes restantes forment aujourd'hui ce qui s'apparente aux vestiges du château.
"I wonder as I wander" de Lindsey Stirling.
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